RETEX RÉFÉRENTIEL ACCUEIL MARIANNE

Le rectorat d’Aix-Marseille est un site vaste et complexe, accueillant environ 700 agents ainsi que de nombreux usagers : enseignants, chefs d’établissements, partenaires, parents et élèves. Rénové après plusieurs années de travaux, il se caractérisait par une absence de signalétique, remplacée par une multitude d’indications artisanales produites directement par les agents et services.

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Cette situation a constitué un terrain idéal pour expérimenter une démarche de co-conception, associant agents et usagers mais aussi des classes de BTS spécialisés en signalétique. L’un des livrables finaux a contribué à nourrir la refonte du référentiel national « Marianne » piloté par le MENJ, offrant un retour qualitatif depuis le terrain et ouvrant la voie à d’autres démarches mobilisant l’ingéniosité des agents.

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Objectifs :

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• Mieux orienter les usagers sur le site physique et numérique, tout en intégrant les enjeux de sécurité.

• Co-construire la signalétique avec les agents et des lycéens professionnels, pour favoriser appropriation et créativité.

• Produire un retour d’expérience utile à la refonte nationale du référentiel « Marianne »

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Méthodologie : étude-conception

Une démarche menée dans l’académie de Lille et plus spécifiquement avec six établissement du bassin de vie de Saint Omer. 

• Mobilisation des établissements

• Enquête auprès des personnels, des élèves et de leurs parents

• Co-conception de plusieurs scénarios  

• Prototypage & expérimentation in situ

• Beta-tests ciblés puis test généralisé  

• Cadrage du livrable  

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​Points notables :

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• Des attentes usagers relativement conformes à l’image de l’institution.

• Un parcours d’usager jonché d’obstacles.

• Une image de l’administration à améliorer ou à bousculer ?

• Une signalétique incomplète, mais prise en charge par les agents.
  Une complexité pas si compliquée : des publics, des problèmes récurrents et des solutions bien identifiées.

• La venue au rectorat : un choix d’efficacité ou de dernier recours ?

• La signalétique comme enjeu collectif : rendre visible et se reconnaître.

• Un contexte marqué par l’insécurité : faut-il s’afficher ?